LA COMPAGNIE
Complices
Gabriele Smiriglia a un parcours éclectique entre la création lumière, la vidéo et la photographie. Pendant ses années d’étude il fréquente à Bologne l’école de cinéma Ipotesi Cinema dirigée par les réalisateurs Ermanno Olmi et Mario Brenta. Pour la création lumière, il fait ses armes auprès de Michele Sambin au TAM Teatro Musica de Padoue, de Henk Danner, de la compagnie Emio Greco|PC in Amsterdam et d’Emmanuel Ferreira au Théâtre du Vieux Colombier (Comédie Française) à Paris.
Intéressé par la recherche, il fait un mémoire intitulé « La dramaturgie de la lumière dans la danse contemporaine » en parallèle à l’université de la Sorbonne Nouvelle (études Théâtrales) et à l’université de Padoue (sciences du spectacle et production multimédia).
Dans le monde de la danse, il collabore depuis 2012 avec la compagnie Emio Greco|PC en tant que vidéaste, et avec le danseur-neuroscientifique Asaf Bachrach. Il travaille aussi sur des créations lumière et vidéo avec les metteurs en scène Marcus Borja et Hakim Bah.
En septembre 2017 il est assistant réalisateur du film Li chiamavano Ribelli, de Lucia Filippone, à la 74 Mostra Internazionale d’Arte Cinematografica de Venise.
Il est régisseur vidéo au Théâtre du Vieux Colombier, à la MC93, à la Scala Paris et au Nouveau Théâtre de Montreuil, et régisseur lumière du spectacle Nel Paese d’Inverno de Silvia Costa. Il collabore avec Marcus Borja pour Le Chant des Signes (2015) Théâtre (2016-2017), Intranquillité (2016-2017), Bacchantes (2017) et Zones en Travaux (2019). Il a conçu la mis en lumière de la crypte de la Basilique Saint Denis pour l’exposition « De Napoléon à Louis Philippe, François Debret, architecte romantique » (2018-2020).
Il travaille notamment avec Madame Miniature et Catherine Marnas, Ivo van Hove et Éric Sleichim ou encore Côme de Bellescize et Jacques Gamblin.
Pour Chloé Dabert, il réalise la création sonore de L’Abattage rituel de Gorge Mastromas de Denis Kelly, de J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne de Jean-Luc Lagarce, d’Iphigénie de Racine et de Girls and boys de Dennis Kelly.
En 2016, il met en place avec la metteuse en scène Linda Duskova un workshop pour l’université Paris 8 « Musée sonique », un dispositif sonore immersif au Musée du Louvre.
Lucas Lelièvre travaille avec le Birgit Ensemble depuis 2015 : il crée le son, la vidéo et joue dans Pour un prélude puis signe, en 2017, les créations sonores de Memories of Sarajevo, Dans les ruines d’Athènes et Les oubliés Alger-Paris.
En 2018, il entame une collaboration avec Elise Chatauret avec Saint Felix, enquête sur un hameau français, Lorraine de Sagazan avec L'absence de père, et Léa Girardet et Julie Bertin pour Le syndrome du banc de touche.
Il collabore avec Marcus Borja pour le design sonore de Théâtre, Intranquilité et Bacchantes.
En 2010, elle collabore avec Stéphanie Tesson à la diffusion de ses spectacles. En 2011, elle intègre le Théâtre de l’Etreinte, Cie William Mesguich, en tant qu’administratrice, chargée de production et de diffusion, poste qu’elle occupera durant 5 ans.
Depuis 2016, Clémence Martens participe au développement des artistes accompagnés par Histoire de… tant à l’administration qu’à la production et la diffusion.